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Posts Tagged ‘teachers programme’


À l’occasion de l’ouverture de l’appel à candidature 2013 de “Sciences à l’Ecole” pour l’accueil d’enseignants français au CERN durant une semaine, nous publions ces jours-ci le journal quotidien plein d’humour de Jocelyn Etienne qui a suivi ce programme l’année dernière, au mois de novembre dernier.

 

La visite s’accélère !
Jeudi 08 novembre 2012

Un élément d’un accélérateur (je ne sais plus lequel).

Un élément d’un accélérateur (je ne sais plus lequel).

La journée commence par une citation de notre collègue Joseph : « si tu veux pas entendre parler de protons, va à Conforama ! » Notre guide ce matin s’appelle François. Il est belge et ingénieur en informatique. Il nous présente le site LINAC-LEIR où l’on trouve tous ce qu’il faut pour préparer les noyaux que l’on va injecter ensuite dans les différents accélérateurs. Il porte un détecteur de radioactivité pour mesurer les doses qu’il reçoit dans une journée. D’ailleurs, il y a des détecteurs de radioactivité à l’entrée et à la sortie du CERN, et gare à celui qui a subi une injection de radio-isotopes pour une analyse médicale, il va sonner aux portiques pendant une semaine (c’est déjà arrivé). Sinon, en cas de problème, faire le 74444 (les pompiers).

Mario Campanelli est un physicien italien qui travaille sur le projet ATLAS (après le Tevatron aux USA, Gran Sasso en Italie…), ce n’est pas une tablette tactile même géante qui va lui faire peur !

Mario Campanelli et sa  tablette tactile géante.

Mario Campanelli est un physicien italien qui travaille sur le projet ATLAS (après le Tevatron aux USA, Gran Sasso en Italie…), ce n’est pas une tablette tactile même géante qui va lui faire peur.

DSC04253Il nous montre une représentation quasiment en temps réel des informations qui circulent  sur le réseau de calcul du CERN à travers le monde. Il s’agit du GRID, sorte de WEB des logiciels, un partage réseau mondial dont on voit un bout à droite, nécessaire pour traiter les milliards de données qu’engendrent les collisions de particules dans le LHC (sous linux toujours).

On appelle ce lieu le CCC : le Centre de Contrôle du CERN. On voit les personnels à travers une vitre mais la plupart ne contrôle rien à l’instant car un apéro est organisé pour fêter les objectifs de puissance atteints. Tout est prétexte pour ne plus mettre un coup de rame hein ?!

On appelle ce lieu le CCC : le Centre de Contrôle du CERN. On voit les personnels à travers une vitre mais la plupart ne contrôle rien à l’instant car un apéro est organisé pour fêter les objectifs de puissance atteints. Tout est prétexte pour faire la fête hein ?!

A 11h, petite pause conférence (Solène Chevalier-Théry de Sciences à l’école puis Morgan Piezel professeur, pour l’exploitation de ce stage dans nos lycées) dans la salle où a été annoncée la découverte du Higgs, ou en tout cas, quelque chose qui s’en rapproche. Les physiciens que nous rencontrons espèrent d’ailleurs que ce n’est pas exactement le boson prévu par le Modèle Standard, car alors… ça serait trop simple.

DSC04278
La soirée se termine avec une partie de quarks poker, un jeu inventé par le physicien retraité Patrick Roudeau. En comprendre les règles fut un des exercices les plus difficiles de la semaine.

À suivre…

Jocelyn Etienne est enseignant au lycée Feuillade de la ville de Lunel.

Pour soumettre sa candidature pour la prochaine session du stage au CERN, c’est par ici.


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À l’occasion de l’ouverture de l’appel à candidature 2013 de “Sciences à l’Ecole” pour l’accueil d’enseignants français au CERN durant une semaine, nous publions ces jours-ci le journal quotidien plein d’humour de Jocelyn Etienne qui a suivi ce programme l’année dernière, au mois de novembre dernier.

 

Dans les cavernes des géants
Mercredi 07 novembre 2012

La matinée est animée par un physicien autrichien guide alpin hyperactif dont je n’ai pas saisi le nom mais que je devrais pouvoir retrouver avant la fin du séjour dans un lieu où même le boson de Higgs est détectable (edit : Michael Hoch en fait). Il nous amène voir les sites où se trouvent deux gigantesques détecteurs de particules, CMS et ATLAS, placés à l’endroit où les faisceaux de protons du LHC se rencontrent.

Avant cela, rapide visite dans un site où un bout du LHC est exposé. On y voit les deux conduits dans lesquels les faisceaux de protons circulent quasiment à la vitesse de la lumière, et dans des sens opposés.

DSC04163Quatre fois sur les 27 km, ces 2 tuyaux se croisent pour causer les collisions qui sont analysées par CMS et ATLAS (mais aussi LHCb et ALICE). Le module sur lequel je m’appuie sur la photo comporte aussi des électroaimants supraconducteurs refroidis à -271°C par de l’hélium liquide. Les aimants servent plus ou moins à diriger et comprimer le faisceau, son accélération se faisant en d’autres points à l’aide de champ électrique haute fréquence. Mais tout ça ne peut-être vu en fonctionnement car cela se situe à 100 m sous terre et de plus, les radiations émises pourraient nuire à mon cuir chevelu.

DSC04181

À CMS, c’est le physicien Jean Fay qui nous fait visiter les locaux avec grandes compétence et gentillesse. Bien que l’on ne puisse pas approcher le détecteur (mais l’affiche de la photo donne une idée de sa taille), une salle de contrôle de la bestiole nous est accessible.

DSC04169_CMSLe système d’exploitation est linux car les pannes windows sont à proscrire… C’est le monsieur qui me l’a dit. Je résume sa pensée : « Vindoze, c’est bon pour les présentations poveurpoïnt, et encore… »

Attends, je dois vérifier un truc… non, c’est bon en fait !

Attends, je dois vérifier un truc… non, c’est bon en fait !

Vite, il nous faut retourner vers ATLAS. Il se situe en fait vers le CERN, alors que CMS est diamétralement opposé, et en France si j’ai bien tout compris.

C’est un physicien retraité à l’esprit vif comme un neutrino qui nous guide : Klaus Bätzner. Le site ATLAS est plus orienté vers le public car il est proche du CERN et sans doute plus accessible. Une salle de projection 3D est mise à notre disposition. Équipés de lunettes et d’un casque, la vidéo qu’on nous présente est impressionnante.

La salle de contrôle est pleine de grands écrans, de petits écrans, de claviers, et de gens qui regardent des écrans tout en pianotant sur les claviers. Ils sont comme dans un aquarium et on peut les observer sans trop interférer avec leur comportement. 🙂

Après le déjeuner avalé en vitesse, direction la salle du conseil pour écouter l’excellent Fabrice Piquemal du CNRS nous parler des neutrinos. Ça tombe bien, les détecteurs précédents ne font qu’extrapoler la présence de neutrinos lors d’une collision, par calcul de l’énergie manquante. Les neutrinos ont la fâcheuse tendance à traverser la matière comme qui rigole, et ne vont pas plus vite que la lumière contrairement à une idée faussement répandue.

Le soir, nous nous retrouvons à Genève après avoir sagement suivi la ligne 14. Le dîner se déroule dans un restaurant où des musiciens jouent avec tout ce qui leur passe sous la main : scie, cuillère, cloche, parfois même des instruments de musique à condition qu’ils fassent plus de 3 mètres. Exténué, retour vers 23 h au CERN.

 

À suivre…

Jocelyn Etienne est enseignant au lycée Feuillade de la ville de Lunel.

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Chambre à brouillard: la chasse aux particules commence !
Mardi 06 novembre 2012

Aujourd’hui, construction d’une chambre à brouillard, alors que le Soleil décide enfin à se montrer ! C’est l’écossais Wilson qui en a inventé le procédé en 1911 (avant de recevoir le Nobel en 1927) pour détecter la trajectoire des particules. Pour nous, de la carboglace, un peu d’isopropanol et de bricolage, et l’on voit des muons issus de particules cosmiques laisser une trace de leur passage.Oulala! (Vue en vidéo d’un muon grâce à la chambre à brouillard)
Mick Storr en pleine explication

On a beau être dans un des plus grands centre de recherche fondamentale du monde, rien de vaut un tableau noir et une craie (cette dernière difficile à trouver par ici parait-il).

 

Les conférences du jour :

David Rousseau (IN2P3 / LAL-Orsay) nous confirme la découverte presque peut-être sûre du boson de Higgs, en tout cas, si c’est pas lui, c’est quand même quelque chose. Il travaille sur le détecteur ATLAS, il doit savoir de quoi il parle. Il y a des détecteurs sur le LHC, comme ATLAS et CMS  et chacun est un monstre de technologie et de compétences, et tous deux confirment indépendamment la détection du Higgs (c’est comme ça qu’on dit).

Julien Lesgourgues (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne) nous parle de la courbure de l’espace qui en fait est plat, à moins que ce ne soit l’inverse, mais j’arrive un quart d’heure en retard…

Sylvie Rosier-Lees du CNRS/IN2P3 au laboratoire d’Annecy, s’occupe du détecteur spatial AMS (spectromètre magnétique Alpha ndlr), accroché à l’ISS. AMS s’occupe des particules cosmiques, et il y en a qui viennent de très loin ! (ici: les dernières new d’AMS ndlr).

Crédit: Jocelyn Etienne.

A droite, la personne semblait coder un programme pour un traitement graphique de données, mais il basculait souvent sur son compte facebook… tsss tsss tsss… Pour les connaisseurs, son portable est sous Xubuntu.

Enfin, Corinne Berat du CNRS/IN2P3 au laboratoire de Grenoble a plus les pieds sur Terre. Son joujou se trouve en Argentine et détecte les rayons cosmiques (encore) qui arrivent au sol après avoir éclaboussé l’atmosphère d’une multitude de particules (des gerbes…). L’observatoire Pierre Auger recouvre quelque chose comme 3000 km² et se délecte des particules de haute énergie provenant peut être de collisions de galaxies ou de supernovae.

Après le repas du soir, je me rends à une conférence dans le cadre de « The 4th International Conference on Particle and Fundamental Physics in Space ». Aujourd’hui, William H. Gerstenmaier de la NASA qui nous présente in English, les recherches faites sur l’ISS. La vidéo finale (un film qui compile les plus belles vues de la Terre prises de la station) est absolument sublime.

 

 

Earth from Michael König – Même ceux qui ont bossé sur leur ordinateur (occupés à coder ou traiter les informations du LHC) toute la durée de la présentation sans écouter un mot du conférencier, stoppent leur activité pour regarder le film. on Vimeo.

A suivre…

Jocelyn Etienne est enseignant au lycée Feuillade de la ville de Lunel.

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Immersion au pays des particules
Lundi 05 novembre 2012

Crédit: Jocelyn Etienne

C’est moi ou la pièce de 5 francs est énorme ?

Grosse journée, petit déjeuner au restaurant du CERN, bon café, tartine beurrée confiturée pour 1 franc suisse ! A tester. Tiens d’ailleurs, c’est moi ou la pièce de 5 francs est énorme ?

Crédit: Jocelyn Etienne

L’hôtel-foyer du CERN

Il ne pleut pas ce matin (ça ne va pas durer, la promenade post-déjeuner s’est faite sous la pluie) alors j’en profite pour prendre une photo de l’hôtel-foyer qui m’héberge. C’est une des fenêtres du 1er étage derrière laquelle se trouve ma chambre, mais inutile de zoomer pour chercher à m’apercevoir. Qui prend la photo à votre avis ?

Crédit: Jocelyn Etienne

Daniel Denegri aurait peut-être vu le boson de Higgs…

Après une première présentation de l’in2p3 par Arnaud Marsollier, suivi de Mick Storr pour le CERN, c’est Daniel Denegri qui nous présente l’expérience CMS, incroyable projet de détection de particule qui s’étend sur 20 ans. Denegri lui-même est un brillant chercheur croate qui parle parfaitement le français, l’anglais entre autres, il aurait peut-être vu le boson de Higgs qui semble plus facile à détecter que son bras droit, tellement le bonhomme est énergique. L’après-midi, c’est au tour de Simone Gilardoni, théoricien des « accélérateurs collisionneurs » de nous montrer que les prouesses nécessaires pour maintenir un faisceau de protons dans un tube de 27 km de long, ne sont pas à la portée des bricoleurs du dimanche. Ou devrais-je dire 2 faisceaux dans 2 tubes qui se croisent de temps en temps ?…

Crédit: Jocelyn Etienne

Simone Gilardoni, théoricien des “accélérateurs collisionneurs”

Le petit point visible derrière Simone est visible ici en direct, si le LHC n’est pas à l’arrêt. Il y en a même deux, comme je l’ai dit précédemment ; nos deux faisceaux de protons dont on contrôle l’état notamment par des miroirs qui renvoient le rayonnement qu’il diffuse… enfin, c’est ce que j’ai compris…

D’ailleurs le LHC va bientôt être arrêté pour quelques mois (il est actuellement arrêté, ndlr, voir ici pourquoi en vidéo). J’espère que ce n’est pas lié à ce bouton sur lequel j’ai appuyé en pensant que c’était l’éclairage de ma salle de bains. Il reprendra ensuite de plus belle pour tenter d’atteindre les 13-14 TeV contre 7 TeV actuellement. Je sais, ça fait beaucoup…

L’après –midi se poursuit par une présentation des masterclasses par Nicolas Arnaud, chercheur à Orsay et organisateur de notre French Teacher Programme au CERN. Puis il nous initie à la détection de particules à l’aide d’un logiciel et de vraies mesures.

Atelier “masterclasses”: J’ai trouvé les W qui se désintègrent, donc j’ai le droit de prendre une photo de mes collègues en plein effort.

Pour finir, je me rends à une conférence tardive sur les sondes Voyager 1 et 2 donnée par Edward Stone, responsable scientifique de ces sondes depuis 1972.

Sur le chemin, j’immortalise la version suisse du principe de superposition d’état, ou comment un vélo peut être en deux endroits différents au même moment…

A suivre…

Jocelyn Etienne est enseignant au lycée Feuillade de la ville de Lunel.

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Crédit: Jocelym Etienne

Principe de superposition d’état…

Crédit: Jocelyn Etienne

…ou comment un vélo peut être en deux endroits au même moment !

 

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Bienvenue en Suisse !
Dimanche 04 novembre 2012

Credit: Jocelyn Etienne

C'est la classe !

Départ de Beaulieu (34) vers 12h30, arrivée au CERN à Genève vers 17h30. Une heure de plus que prévu à cause du voyant d’huile du véhicule qui s’éclaire et qui m’oblige à faire un arrêt supplémentaire pour trouver de l’huile, mais surtout par la faute d’une météo exécrable, une pluie dense qui force à rouler au pas sur l’autoroute. J’évite la taxe autoroutière suisse exorbitante, mais ensuite, le GPS tient absolument à me faire pénétrer dans la CERN par une porte dérobée alors que l’entrée B m’a été chaudement recommandée.

A l’accueil de l’hôtel, on me fournit un laisser-passer et le badge qui permet d’accéder à ma chambre (n°122, première étage, bât. 41), au parking etc… C’est la classe !

Credit: Jocelyn Etienne

L'argent local a la particularité d'être très coloré

Dans le couloir, je croise Nicolas Arnaud de l’IN2P3, principal organisateur du stage. Rendez-vous au restaurant, pile poil à l’heure dite (je dois avoir du sang suisse dans les veines).

En attendant les retardataires, je vais retirer de l’argent local qui a la particularité d’être très coloré (Arthur Honegger et Le Corbusier ne diront pas le contraire). Mon beau billet vert de 50 francs n’est pas sur la photo, je l’ai transformé en frites, veau et endives entre 19 h et 20 h.

Crédit: Jocelyn Etienne

Une salle de conférences qui a sans doute vu passer nombre de brillants chercheurs...

Avant le repas, Mick Storr, autre GO du CERN, nous fait alors visiter le « main building » dans lequel on peut croiser des prix Nobel si on a de la chance.

Dans un couloir, on entend presque les cerveaux qui crépitent (bon, pas trop un dimanche soir quand même, bien que la bibliothèque soit ouverte 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 tout l’année), d’autant que c’était derrière l’une de ces portes que le web (attention, le web ! pas internet…) a été conçu.

Enfin, on a l’honneur de s’installer dans une salle de conférences rénovée qui sans doute vu passer nombre de brillants chercheurs faisant résonner les murs de non moins brillants exposés.

Puis retour dans ma chambre où je constate que la propreté et l’ordre suisse ne sont pas des clichés…

A suivre…

Jocelyn Etienne est enseignant au lycée Feuillade de la ville de Lunel.

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